Doutes sur l'infertilité

Oui, en utilisant la technique FIV-ICSI avec du sperme extrait du testicule (TESE).

Vous devez recourir à la fécondation in vitro (FIV). De cette façon, les ovules peuvent être extraits des ovaires et plus tard les embryons (ovules fécondés) peuvent être transférés. Il n’est pas nécessaire que les tubes soient perméables, cela peut même se faire sans tubes.

À l’Institut Cefer, nous avons opté pour l’ICSI car nous obtenons de meilleurs résultats qu’avec la FIV conventionnelle. La microinjection de sperme (ICSI) est une variante de la FIV (fécondation in vitro) qui consiste à introduire un spermatozoïde sélectionné dans un ovule mature, assurant la rencontre entre les deux. Un faible nombre de spermatozoïdes ou des problèmes de mobilité deviennent secondaires. Au contraire, dans la FIV conventionnelle, il est possible qu’aucun spermatozoïde n’entre dans l’ovule, ou que plus d’un le fasse, avec lequel l’embryon ne sera pas viable.

Oui, s’il vient comme partenaire. Dans ce cas, vous devez donner votre consentement par écrit, en supposant la paternité, c’est-à-dire tous les droits et obligations sur l’enfant. Si votre ami agit en tant que simple donneur, ce n’est pas possible, car la loi espagnole exige que le donneur de sperme soit anonyme.

Pour cela, il est nécessaire que vous visitiez l’Institut Cefer au moins deux fois : une visite précédente (ou plusieurs) pour passer en revue les études qui ont été réalisées précédemment et vérifier que l’indication est correcte. Après prise des antécédents médicaux et examen, les facteurs susceptibles d’invalider le traitement initialement prévu doivent être écartés. S’il existe plusieurs possibilités, les avantages et les inconvénients sont signalés afin que vous puissiez décider librement.
De plus, pour faciliter votre confort, lorsque nous utilisons du sperme d’une banque, les visites peuvent se faire par visioconférence.

En général, il est conseillé de se reposer, surtout les premiers jours. L’essentiel est d’éviter les efforts extrêmes, comme soulever des poids, qui pourraient compromettre une éventuelle grossesse. Le médecin évaluera chaque cas et indiquera si plus de repos est nécessaire.

Il y a plusieurs raisons de refaire une analyse de sperme : elle est ancienne, elle est incomplète, des informations complémentaires sont nécessaires, pour connaître la réponse à un traitement…

La période (en tant que signe qu’entre les périodes vous ovulez) est une condition nécessaire pour obtenir une grossesse naturelle, bien que ce ne soit pas la seule. Une femme qui n’a pas ses règles (aménorrhée) peut tomber enceinte si elle suit un traitement adéquat, soit en normalisant les valeurs hormonales, soit en ayant recours à des ovules donnés.

Statistiquement, il a été observé que la fertilité des femmes diminue après l’âge de 35 ans. Cet âge est indicatif et chez chaque femme, différent. A partir de 44-45 ans, la possibilité de tomber enceinte avec ses propres ovules est très faible. La raison en est que la femme naît avec un nombre limité d’ovules qu’elle dépense tout au long de sa vie, la réserve diminuant à partir de 35 ans et bien plus à partir de 40 ans. L’âge de la femme est le facteur pronostique le plus important concernant les chances de grossesse. Au contraire, l’âge de l’homme a beaucoup moins d’importance, puisqu’il produit constamment de nouveaux spermatozoïdes.

De nos jours, il est possible de connaître le sexe des embryons avant leur transfert, mais la loi espagnole ne le permet que dans les cas où il existe une raison médicale.

Si une faible qualité séminale n’est pas observée et qu’il n’y a pas d’inconfort, il n’est pas nécessaire de subir une intervention chirurgicale. Au contraire, si une faible qualité séminale est observée, opérer la varicocèle peut améliorer significativement les paramètres séminaux, dans certains cas. L’andrologue vous indiquera si dans votre cas il est utile de vous faire opérer.

Les médicaments prescrits sont des hormones recombinantes, c’est-à-dire synthétisées avec une technique de génie génétique, ressemblant à celles naturelles produites dans l’hypophyse.

Dans certains cas, il n’est pas nécessaire de recourir à une technique de procréation assistée. Par exemple, chez un homme avec de faibles niveaux d’hormones, une solution consiste à administrer l’hormone manquante. En cas d’infection, un traitement antibiotique peut suffire. Une femme qui n’ovule pas en raison d’une prolactine élevée peut être normalisée avec un traitement médical, la faire ovuler et tomber enceinte.